Massy, le 3 février 2020 – Le groupe Atempo-Wooxo, éditeur de logiciel mondialement reconnu pour sa technologie fiable et puissante de protection du patrimoine numérique, annonce avoir reçu, à l’occasion du FIC 2020, le label France Cybersecurity pour toutes les solutions de sa gamme Atempo de protection du patrimoine numérique : Lina, Miria et Tina. Le label a également été renouvelé pour la troisième fois consécutive pour la solution YooBackup de Wooxo. 

Le label « France Cybersecurity » répond à plusieurs besoins et objectifs :  

• Promouvoir les solutions de cybersécurité françaises et accroître leur visibilité à l’international,  
• Sensibiliser les utilisateurs et donneurs d’ordre internationaux à l’importance de l’origine française d’une offre de cybersécurité et aux qualités qui lui sont propres,  

• Attester auprès des utilisateurs et donneurs d’ordre, l’existence et la commercialisation des produits et services ainsi labellisés,  
• Accroître globalement leur usage et élever le niveau de protection des utilisateurs.  

Le label « France Cybersecurity » est la garantie pour les utilisateurs que les produits et services qui portent le label ont bien été développés en France et qu’ils possèdent des fonctionnalités claires et bien définies, ainsi qu’un niveau de qualité attesté par un jury indépendant.  

Cette garantie est apportée par la vérification du bon respect du cahier des charges du label et l’examen des éléments factuels apportés par le fournisseur sur la qualité et la performance de ses produits et de ses services.  

« Nous sommes très honorés de voir toutes les solutions de notre gamme récompensées par cette distinction. 
Nos logiciels sont les seuls à avoir obtenu ce label dans le domaine de la sauvegarde, de l’archivage et du mouvement de données.  Ces labels sont autant d’encouragements pour notre équipe de R&D. Ils attestent de l’excellence de l’offre française en matière de cybersécurité.» déclare Luc d’URSO, CEO du Groupe Atempo-Wooxo. « Les solutions souveraines se sont jusqu’ici présentées comme une alternative à celles de confrères américains. Désormais, elles doivent s’imposer comme une évidence si nous souhaitons disposer d’une Europe Numérique Souveraine » conclut-il.